Vendetta

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Image par donterase de Pixabay rue sombre insécurité

C’est l’histoire d’un règlement de comptes, un de plus, agrémentant désormais les nuits des paisibles Bruxellois de souche en voie d’extinction.

Dans la nuit de samedi à dimanche, des coups de pétoire assimilables à des tirs de kalachnikov ont cette fois semé l’émoi au coeur de Forest, l’une de ces nombreuses communes administrées par ces farfelus d’écolos plus enclins à faire pousser le blé sur le bas côté de la chaussée qu’à assurer la sécurité de leurs concitoyens.

Selon le Parquet, descendu sur les lieux, il s’agirait d’une vendetta entre (très jeunes) trafiquants dont chacun sait qu’ils seraient depuis longtemps des diplômés universitaires en puissance si, comme le réclame depuis des années la gauche, étaient dépénalisés l’usage comme la vente de schnouff.

Ces faits deviennent à ce point récurrents que personne ne semble s’émouvoir du bilan de ces échanges de coups de feu qui se sont tout de même soldés dans les rangs des belligérants par un mort et deux blessés, aucune victime n’étant par miracle et par chance à déplorer au nombre des spectateurs occasionnels.

Comme il ne faut pas compter sur la collaboration des médias pour en savoir plus, l’essentiel ayant déjà été dit par leur canal puisqu’ils nous présentent les cow-boys et les indiens forestois comme « des jeunes », nous prions chacun de clore ici le débat.

En leur recommandant tout de même d’éviter à l’avenir la place Orban, un samedi soir, sur le coup de minuit…

L’Objecteur Médiatique