Et si le réchauffement (devenu changement) climatique s’inscrivait dans un narratif élaboré pour alimenter une hallucination collective ? Et si des manipulateurs, qui n’ont jamais eu d’autre objectif que de vous faire les poches, avaient réussi à vous amener à renoncer à vos biens en vous faisant croire que vous oeuvrez pour le Bien? Présenté ainsi, cela paraît énorme. Pourtant, comme le dit la maxime, « plus c’est gros, plus ça passe ». Alors, est-il possible que des centaines de millions de gens se soient fait bernés par des escrocs en bande organisée ?
La météo durant cet été clément, le premier digne de ce nom depuis des années, a fait couler beaucoup d’encre. Les médias se sont déchaînés dans une surenchère de titres dramatisants. Les cartes météorologiques ont pris des tons rouge écarlate pour entretenir un sentiment d’apocalyspse.
Quant au mot de l’année ce sera « ombrière », que le Larousse définit ainsi : « Dispositif généralement constitué d’un toit plat plus ou moins ajouré en bois, en toile, en fibre, etc., reposant sur des piliers ou suspendu par ses extrémités, qui permet de faire de l’ombre et, par conséquent, d’abaisser la température. »
C’est le genre d’aménagement urbain très prisé des décideurs budgétivores qui envahit nos villes au détriment des arbres. Sans leurs qualités thermorégulatrices ; mais le coût en plus.
Bruxelles s’est dotée d’une telle construction place Rogier dans le cadre d’un aménagement qui aura coûté € 42 millions avec un dépassement €13 millions tout de même. Comme elle est très largement transparente, on retiendra qu’elle protège de la pluie ceux qui ont le temps d’attendre qu’elle cesse pour poursuivre leur chemin.
L’histoire de l’Homme nous apprend que le changement climatique est au cœur de l’hominisation. L’expansion de nos ancêtres s’est appuyée sur les périodes de glaciation. Celles-ci, en abaissant le niveau des mers, ont créé des passages qu’ils ont été en mesure d’emprunter pour migrer vers le Sud, à la recherche de températures plus clémentes et d’une végétation plus abondante.
L’histoire et la géologie nous montrent que le climat s’est très profondément modifié bien avant l’apparition de l’Homme et durant des périodes où ses activités de chasseur-cueilleur ne dégageaient aucun gaz à effet de serre. Les tenants de l’origine anthropique de ce changement rétorquent que ces variations sur le temps long, quasi géologique, ne se sont jamais produites à une telle vitesse. Pourtant, les événements de Heinrich prouvent le contraire.
L’étude des carottes de glace, menée de longue date, met en évidence l’incroyable instabilité du climat non seulement dans le temps long, mais également sur des périodes plus réduites. Les cycles identifiés permettent d’extrapoler des prévisions. L’archive ci-dessous, qui date de 1971 n’a rien de prophétique. Au contraire, elle est purement scientifique.
Comment expliquer un tel écart entre le discours « scientifique » de 1971 et celui de 2025 ?
En 1971, c’est un glaciologue qui s’exprime. Et puis, en 1971, on se situe deux ans avant le choc pétrolier de 1973, un événement cardinal en matière de géopolitique de l’énergie. En 2025, la parole est au GIEC aujourd’hui présidé par l’Ecossais Jim Skea, docteur en physique de Cambridge, mais qui a occupé des fonctions de direction au sein du mastodonte de la finance Blackrock. Quant aux rapports du GIEC, ils ont pour co-auteur un lobbyiste comme le « catastrophologue » belge François Gemenne qu’un cursus en politologie à l’Université de Liège n’a pas formé à la climatologie. Ceci ne l’a pas empêché de prendre la présidence du comité scientifique de la Fondation Nature et Homme (fondée initialement sous le nom de Fondation Ushuaïa par l’ex plagiste/animateur/vendeur de shampoing/ministre Nicolas Hulot) qui, lorsqu’elle ne cherche pas à vous soutirer de l’argent milite pour la décarbonation en invoquant les rapports … du Giec. Avec de tels profils, de la science, il ne reste plus qu’un vernis appliqué sur des affaires qui peuvent rapporter gros.
Toutefois, enclencher la machine à sous, il est essentiel de maintenir la population dans un profond état de culpabilité par rapport à l’avenir de la planète pour l’amener in fine à vouloir la sauver. C’est ce qui permet de justifier que les autorités lui prélèvent des taxes et des impôts divers et variés au nom du Green Deal. On distille quotidiennement un discours apocalyptique et quelques années plus tard on peut fourguer des panneaux photovoltaïques et des véhicules électriques dont personne voulait. Et si l’engouement n’est pas là, on « offre » des primes payées par Nicolas (qui paie tout).
Ce détournement de fonds ne tient que si l’Homme peut être tenu pour responsable du dérèglement climatique. Or la science tendrait plutôt à prouver qu’il n’est pas anthropique et que l’activité des hommes ne l’impact que de façon marginale.
Ce n’est jamais agréable de découvrir que l’on s’est fait escroquer. Ce l’est encore moins lorsqu’on réalise que l’escroc n’est autre que sa grosse nounou d’Etat obèse qui prétend nous protéger de tout. Une grande partie de la population préfèrera se mettre la tête dans le sable et continuer à souffrir plutôt que procéder à un examen de conscience, le sien, mais surtout celui de ses élus. Il faut dire que ces derniers maîtrisent à la perfection l’art de prolonger leur mandat sur base de discours galvanisateurs débouchant si souvent sur des promesses non tenues. Une piqûre de rappel avec Al Gore, et sa fin du monde? Mais ce n’est là qu’un coup parmi tant d’autres: les pluies acides, le trou d’ozone, le bug de l’an 2000. Et que dire du Covid, cette supercherie, une honteuse instrumentalisation de la peur par Ursula von der Leyen, qui a doublé cette douloureuse pandémie d’une juteuse chasse aux milliards. Et toujours une même stratégie: attiser des peurs, même celles qui n’existent pas, pour plonger la majeure partie de la population dans un état de sidération collective tout en laissant les plus courageux naïfs rêver de la petite croix du mérite.
« Toi aussi, tu peux devenir sauveur de la planète. Tu verras, l’effet est saisissant » nous diraient les Snuls, sans préciser le coût du kit « régulateur de la planète ». Une réduction peut-être pour les castors qui ont déjà sauvé la France ?
Le bon sens devait en amener suffisamment tout de même à ouvrir les yeux.
#OpenYourEyes #RealiseRealLies
T.H.