Affaire Monguillot : ensauvagement de la France et banalisation du mal

1940

Philippe Monguillot avait 59 ans. Il était chauffeur de bus à Bayonne. Salarié honnête, mari exemplaire et père de trois filles, il devait prendre sa retraite dans un an. Ce ne sera pas le cas. Quatre criminels multirécidivistes en ont décidé autrement. Le motif ? Philippe leur a demandé de présenter leur titre de transport et de porter un masque. Contrariés, ils ont lynché le malheureux chauffeur en lui portant des coups à la tête d’une violence inouïe. En état de mort cérébrale, celui-ci s’est éteint sur son lit d’hôpital le 10 juillet vers 17h30.

La presse mainstream en PLS

La presse mainstream s’étrangle devant les faits. Et pour cause, ça ne colle pas à leur ligne narrative de la France black-blanc-beur et du grand vivre-ensemble. Les agresseurs et assassins présumés ne se prénomment pas Stanislas, Laurent, Cyprien et Jean-Pierre. A la lecture de leurs noms, on constate que les quatre criminels multirécidivistes sont issus de l’immigration : Mohammed C., Mohammed A., Moussa B. et Sélim Z. Cette presse va alors essayer de passer le crime sous silence, d’accuser des punks à chien, tout ça pour maintenir la bombe sous cloche. Surtout ne pas faire le jeu de l’extrême-droite.

Dans un article immonde, Le Parisien, fidèle à sa morale « progressiste » et cosmopolite, porte assistance aux agresseurs et assassins présumés en tentant d’incriminer l’alcool et la drogue. C’est à se demander si on ne baigne pas dans les effluves de marijuana et autres vapeurs d’alcool au sein de cette rédaction tant le relativisme moral et l’inversion des valeurs y règnent en maîtres. 

Deux mondes s’affrontent

Mais c’est sans connaître la formidable viralité des réseaux sociaux. En quelques heures, de façon parfaitement légitime et compréhensible, ce récit dramatique déchaîne la toile. De façon spontanée, une marche blanche s’organise à Bayonne et rassemble 6000 personnes. En tête de cortège, l’épouse de Philippe et ses trois filles affichent une dignité sans commune mesure, le tout dans le calme et le recueillement.

On est très loin de l’univers de la racaille des cités, celles qu’on arrose de subventions sur fond de « musique » rap, de parler wesh-wesh et de trafic de stupéfiants. Ici, on a des êtres humains face aux barbares. Ici, on a la civilisation face à la sauvagerie. On vit sur la même planète, mais on n’est pas du même monde.

Au final, deux mondes s’affrontent actuellement: la France et l’anti-France.

Sus à l’autorité

Car force est de constater que la France a basculé dans l’horreur. Elle subit un climat d’ensauvagement dont la corrélation positive avec la croissance de l’État-providence, de l’immigration anarchique et du communautarisme n’est plus à démontrer depuis l’enquête choc de Laurent Obertone. La République connaît actuellement son heure « Orange Mécanique ».

Depuis quasiment un demi-siècle d’antiracisme et de Touche pas à mon pote, les dirigeants politiques successifs offrent en pâture le Français de souche, incarnation de tous les maux de la civilisation occidentale. Parallèlement, et c’est ainsi qu’ils se justifient, les atrocités commises par la diversité sont mises sur le compte des injustices sociales qu’elle subirait.

Avec la mort de Philippe, ainsi que celle de la gendarme Mélanie Lemée, volontairement percutée à mort par le trafiquant de drogues Yassine E., multirécidiviste issu de la diversité, la République Française et sa magistrature postmoderne ont délivré un permis de tuer : celui d’exterminer tout représentant de l’autorité, et plutôt deux fois qu’une si pour son malheur, il est blanc de souche.

Banalisation du mal

Philippe a eu droit à une marche blanche. Une cagnotte Leetchi est toujours ouverte pour venir en aide à sa famille. Mais il n’aura pas droit aux attentions de la presse et des médias progressistes. Pas de Yann Barthès au Petit Journal pour dénoncer cet acte de barbarie et interviewer avec pudeur la récente veuve. Français de souche au casier vierge, blanc de peau, Philippe n’aura pas droit à un hommage d’Omar Sy ni à une chanson de Camélia Jordana. Il n’y aura pas de communiqué de presse du comité « Justice pour Adama », clan des criminels Traoré en tête, ni d’invitation de l’Elysée. Il n’y aura pas de genou à terre.

Les médias qui ont tenté d’occulter les faits dans une affligeante unanimité non concertée, se rendent complices de la « banalisation du mal » chère à la philosophe Hannah Arendt. Cette plaie qui gagne la République se nourrit du sacrifice de ses éléments les plus honnêtes et les plus courageux après les avoir asservis fiscalement.

Où sont les patriotes?

Pendant que France Culture, en roue libre et sous perfusion publique, débite les mantras de son programme d’été enrichissant et varié dès le matin sur divers thèmes politiquement et correctement calibrés (les souffrances des prisonniers islamistes torturés par la CIA à Guantanamo ; être une femme noire dans l’Amérique de Trump ; les conquêtes LGBT dans la communauté afro-descendante de Chicago ; les mouvements de résistance face au racisme et aux violence policières de Rosa Parks à Georges Floyd), il reste tout de même de courageux patriotes tels que Patrice Quarteron pour rendre hommage à Philippe et exhorter les amoureux de la France à reprendre le contrôle du pays.

Désormais, on ne s’attaque plus qu’aux statues et aux symboles. Après les objets, aujourd’hui, on s’en prend aux être humains sur base de leur couleur de peau. Accepterez-vous encore longtemps d’être mis à l’amende ? Ces faits qu’on nomme « divers » sont-ils les prémisses d’une épuration ethnique? Allez-vous laisser faire ça ?

Jules Alove