Ce n’est plus un secret pour personne, Brad Pitt est bel et bien venu battre le pavé à Bruxelles. Le vieux (quelques années au compteur tout de même…), mâle (le doute n’est pas permis), blanc (là non plus) n’a pas laissée indifférente la gent féminine belge.
Prête à se lever -tôt- comme un seul homme, elle a fait le pied de grue sous les fenêtres de l’hôtel où logeait son homme-type. B-Mag n’a pas investigué pour connaître le pourcentage de féministes qui ont fait le déplacement mais il est probable que celui-ci soit supérieur à ce qu’imaginent les intéressées. Et oui, même les féministes ont des choses à confesser.
Tout cela ne nous donne toujours pas la raison impérieuse qui a justifié le déplacement de l’archétype du prince charmant au royaume des gaufres. Quelle était donc cette justification suprême qui primait sur les commandements de notre sémillant ministre de la santé, Frank Vandenbroucke, dont le pantalon n’a pas été taillé par Cardin?
Quand on voit les mesures contraignantes prises à l’encontre des propriétaires de secondes résidences, on peut déjà exclure l’argument immobilier.
A moins d’avoir caché tout ce temps des ascendances belges, le beau Brad n’avait aucun grands-parents à qui venir porter secours au coeur de la pandémie.
Il faut bien se rendre à l’évidence, à moins que la Belgique ne soit une monarchie bananière aux frontières poreuses comme un Emmental en fin de vie, seule la plus belle des raisons pouvait justifier de braver l’interdit : l’Amour!
L’Amour toujours!
Il faut dire que l’ancien bébé au corps d’athlète a pris des coups en la matière… Mais tel un boxeur, il est bien décidé à prendre sa revanche. Finies, les Jolie anorexique! Trop compliquées les ex-fans de sixties! Trop volages les baby dolls!
Si c’est l’Amour, le vrai, avec un grand A qui a attiré le beau Brad à Bruxelles, c’est pour y nouer une relation au moins aussi durable qu’une éolienne offshore. Un truc solide, à l’épreuve des pandémies et du changement climatique.
Mais qui est donc l’élue de ce petit coeur qui s’est soudainement remis à battre à Bruxelles?
Quelle est donc cette femme pas compliquée? Celle qui n’a pas peur de mettre de la mayo sur sa salade? Qui est cette personne dotée d’une telle droiture qu’aucun écart ne l’amènera sous le tram? Et si… Et si c’était elle, celle qui commande tous les trams à Bruxelles… et même les vélos? Et si c’était Elke?
Vous avez vu comme elle était en beauté, Elke? Gaulée comme une Vénus paléo et perchée sur ses stilettos, il émane d’elle un équilibre subtil entre rusticité et sophistication auquel Brad n’aura pas pu rester insensible. Elle est irrésistible comme une promesse d’amour qui dure pour toujours. Et puis Brad, à 57 printemps, Il n’entend pas mourir affamé par sa moitié!
In auto veritas
D’ailleurs, l’ultime indice de cette possible idylle de nature à réenchanter notre petit Royaume qui en a tant besoin est à rechercher dans le changement de charroi du sex-symbol. Il faut une raison bien plus chaude que le climat pour que ce beau blond abandonne son Chevrolet Tohoe au profit d’une voiture éco-solidaire. Ca, c’est tellement évident que n’importe quel épisode des Feux de l’amour vous en fait la démonstration!
Pour les noces, il n’est pas impossible que le Prince Harry, champion toutes catégories des nobles causes, fasse le déplacement afin d’y assister à titre de témoin. Et si par malheur entretemps il se faisait éconduire par la “princesse” Meghan, on lui dit déjà qu’Yseult devrait être sur le pont… à Bruxelles.
Que les playboys locaux ne soient pas jaloux, même si Elke et Yseult se perdent peut-être dans des yeux d’acier, il reste encore des filles extra prêtes à tomber dans des pièges tabous tendus par de vieux mâles blancs.
Jennifer Pepper