C’est l’histoire d’un mouvement né spontanément d’un fait divers aussi tragique que monstrueux passé sous silence, comme tous les actes racistes anti-blancs, par la presse bien-pensante.
Dans la nuit du 18 au 19 juillet, une jeune aide-soignante de 23 ans, Axelle Dorier, était assassinée en plein Lyon par deux crapules qui, au volant de leur véhicule, l’ont volontairement percutée avant de la traîner sur 800 mètres sous leur voiture et de l’abandonner, morte et démembrée, au milieu de la chaussée.
Depuis lors, une froide et indicible colère sourde au sein de la population qui n’en peut plus de subir au quotidien cette insécurité permanente et cette violence criminelle dont, dans un but de sensibilisation, nous nous faisons nous-même l’écho dans un Tour de France 2020 marqué par l’horreur et l’abomination.
Parti d’Aix-en-Provence, le mouvement de réprobation a pris au fil des derniers jours de l’ampleur au point de se propager via les réseaux sociaux sur tout le sud de l’Hexagone. En son sein, on retrouve surtout des jeunes gens, bien sous tous rapports, qui ont choisi de mener leur croisade en menant des actions de sensibilisation choc en bras de chemise. En chemise immaculée, le blanc rappelant tout à la fois le caractère apartisan et donc apolitique avec, tout de même, une note de rappel pour cette population blanche aujourd’hui ostracisée, menacée, agressée et systématiquement dénigrée par le marigot politico-médiatique de la pensée unique.
Les « chemises blanches », qui veulent incarner » l’homme simple, propre, qui a de la conduite » ont prévenu : elles ne se laisseront plus marcher sur les pieds et prôneront en toutes circonstances le partage des valeurs du bien commun et le respect des hommes et des femmes « qui veulent que la France, son ordre, son respect et ses valeurs soient partout sur le territoire » dans un Etat assurant en toutes circonstances la sécurité, « y compris dans les cités ».
Quelques jours après le drame ayant coûté la vie à Axelle, dans la nuit du 24 au 25 juillet, une dizaine de chemises blanches se sont réunies et ont peint une ligne rouge de 800 mètres reliant le Palais de Justice à l’Ecole militaire d’Aix-en-Provence, afin de symboliser le macabre trajet de la voiture des deux individus responsables de la mort de la jeune victime. A chaque 50 mètres, était inscrit à la peinture « #JusticePourAxelle » ainsi que les noms des individus ayant causé sa mort, et le nombre de mètres encore à parcourir.
La noble démarche de cette vaillante jeunesse blanche mérite d’être connue et soulignée. Puisqu’il ne faut pas compter sur nos gazettes et moins encore sur nos radios-TV d’Etat pour en parler, nous l’avons fait à leur place.
Ce sont les petits ruisseaux qui, de tous temps, ont fait les grands rivières. Alors très chers, parlez-en donc à votre tour entre vous, sans modération…
L’Objecteur Médiatique