Le billet de L’Objecteur Médiatique
C’est l’histoire d’une victoire, d’une victoire de la droite de la droite face à la droite de nature à conforter dans leurs certitudes toutes celles et ceux, particulièrement malmenés ces derniers temps, qui combattent au quotidien pour la survie de leur civilisation et de toutes les valeurs cardinales remises en question par un progressisme de plus en plus totalitaire.
Faisant fi et sans doute même survoltés par toutes les critiques des médias mainstream ayant couvert de boue leur champion, plus de dix millions de Polonais se sont déplacés dimanche aux urnes pour réaffirmer leur confiance et leur loyauté envers le président sortant Andrzej Duda, porte-drapeau de la patrie, de l’ordre et de la famille farouchement défendus par l’actuel gouvernement rouge et blanc.
Tout est en place, désormais, pour permettre à la Pologne de poursuivre le train de ses réformes tout en réaffirmant sa volonté de ne pas se laisser dicter sa politique par qui que ce soit, à commencer par les commissaires non élus de Bruxelles.
Peuple fier, brave et courageux, le Polonais a trop souffert de la tutelle communiste et de la tyrannie nazie pour se laisser aujourd’hui diriger par les juges de Strasbourg aux ordres de Soros et de la mondialisation, par le Parlement de plus en plus gauchisant de l’Union européenne et par le quarteron de dirigeants réunis sous la bannière de Macron qui ne sait plus par quel bout prendre le drapeau étoilé pour sauver sa tête de la décapitation.
Farouche partisane de l’OTAN et très proche des Américains, la Pologne n’est pas nécessairement opposée à l’Europe dont elle est même partie prenante en la considérant comme une garantie supplémentaire de la paix dans le monde. Mais elle se refuse en revanche à être le caniche du duo Michel-Von der Leyen et de se laisser asservir docilement par les diktats du Berlaymont.
Le dernier succès d’Andrzej Duda démontre lumineusement qu’à la condition de le vouloir, le dernier mot reste et restera à la population qui s’est déplacée massivement à cette élection présidentielle (près de 70 % de participation malgré la Covid) pour faire valoir ses droits.
L’exemple polonais doit inspirer les abstentionnistes de tous les pays à commencer par le million de Belges qui ont renoncé à encore aller voter. Il constitue aussi, à quatre mois des présidentielles US, un formidable adjuvant pour les partisans de Donald Trump, une autre bête noire des médias du monde entier actuellement en difficultés par la seule faute de la crise sanitaire.
Il n’y a pas de fatalité, il n’existe que des solutions.
L’Objecteur Médiatique